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Diderot admirait Chardin. L’étude de cette nature morte nous permet, aujourd’hui encore, de comprendre pourquoi.
Dans Le Nécrologe de 1780, cet ouvrage « consacré à la mémoire des hommes illustres des sciences et des arts », Jean-Baptiste Siméon Chardin (1699-1779) est évoqué comme l’un des plus grands coloristes de l’école française. Fils d’ébéniste spécialisé dans la réalisation de tables de billards, ce Parisien fut envoyé par son père à l’Académie de Saint-Luc et montra rapidement de grandes dispositions pour la nature morte.
Lièvre mort avec fusil gibecière et poire à poudre par Jean-Baptiste Siméon Chardin
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