Entretenir des équidés tout en ménageant des espaces favorables au gibier et à la biodiversité, c’est possible. Voilà le défi d’une petite unité d’élevage de Haute-Garonne d’à peine dix hectares qui cumule les aménagements afin de démontrer que les pâtures ne sont pas forcément des déserts cynégétiques. Une illustration supplémentaire du fait que l’on peut participer à l’effort de la sauvegarde de la biodiversité ordinaire sans être nécessairement à la tête d’un immense domaine agricole.