Dans le Loir-et-Cher, au sud de Blois, le terroir composé de vigne et champs céréaliers accueille de belles populations naturelles de perdrix grises et rouges dans les secteurs épargnés par les lâchers. Biotopes favorables, authenticité des souches, forte volonté fédérale et admirable implication des chasseurs expliquent en partie cette situation cynégétique privilégiée.