Aymeric Guillaume
Dans l’arrière-pays de Castelnaudary, à la limite de l’Aude et de la Haute-Garonne, Philippe Aribaud-Damery a développé sur son exploitation des pratiques agricoles simples et efficaces pour attirer les cailles sauvages, favoriser leur reproduction et retenir les oiseaux de passage pendant la saison de chasse. Une méthode qui devrait faire tache d’huile.
Dans un monde plus pragmatique, les nombreux amateurs de chasse au chien d’arrêt et, plus largement, les institutions cynégétiques, investiraient sans retenue dans le développement de la caille des blés sauvage. Leur retour sur investissement serait garanti, à moindre effort et moindre coût, puisqu’à la différence des espèces sédentaires de plaine, elle ne nécessite aucun repeuplement mais seulement quelques adaptations agricoles.
Les cailles des blés à l'honneur
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