Auteur d’un célèbre “Traité de vénerie”, d’Yauville était resté un parfait inconnu, dans l’ombre de sa fonction de commandant de la Vénerie royale. La biographie pionnière que lui consacre Philippe Dulac rend hommage au rôle majeur qu’il joua au sein d’une institution d’État prestigieuse qui atteignit son apogée sous Louis XV.