Chez Julie Salmon, il y a quelque chose d’écrasant, de dominant. Les animaux ne sont plus sur une toile, ils sont là, vivants, devant vous. La taille de ses œuvres renforce cette impression. Elles sont de grands, de très grands formats, comme pour mieux montrer leur puissance, leur sauvagerie. Ses animaux dégagent un sentiment de supériorité, une souveraineté qui vous donne le vertige. Son bestiaire surgit de l’obscurité comme pour mieux vous envahir.