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La profondeur des forêts québécoises abrite une diversité de petits gibiers à la sauvagerie authentique. Bécasses, gélinottes huppées, tétras du Canada, mais également le fascinant canard carolin… Ils ont été prétextes à vivre l’aventure sur une terre qui l’incarne plus que toute autre.
Les rêves du chasseur globe-trotter sont peuplés d’excursions cynégétiques exotiques et de destinations lointaines, parmi lesquelles figurent assurément les grands espaces nord-américains. Loin de nous l’idée de comparer leurs mérites à ceux de l’Asie Centrale, de Sibérie ou encore d’Afrique, pour ne citer qu’eux, mais il faut admettre que l’Amérique – et, plus spécifiquement, les États-Unis et le Canada – exerce une fascination particulière. Est-ce là le fait de l’Histoire, qui mêla intimement notre pays à ces terres transatlantiques ? Ou encore la cause d’une littérature et d’une cinématographie particulièrement fournies sur le sujet ? Toujours est-il que les romans de Jack London, James Fenimore Cooper ou autres coureurs des bois ont définitivement inscrit dans l’imaginaire collectif ces immenses forêts du nouveau monde, l’esprit des Amérindiens qui les peuplent et, enfin, le bestiaire fabuleux que nous promet cette nature généreuse. Qui ne rêve d’une cabane, posée en bordure de lac, au milieu de nulle part dans la forêt canadienne ?
Les grandes plumes de la Belle Province
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