L’opération était d’envergure, la génétique des oiseaux irréprochable, les gestionnaires du territoire d’accueil et la fédération du Loir-et-Cher à la hauteur de l’enjeu. Et pourtant, après une brève remontée des effectifs sur le terrain, les densités de perdrix grises sont redescendues à leur faible niveau initial. Analyse d’un échec qui a le mérite de démontrer que les chasseurs sont arrivés au bout de ce qu’ils peuvent faire seuls.