Jean-Louis Llombart
À la frontière nord du Kazakhstan, où les plaines se déroulent à l’infini, d’épais bosquets de bouleaux abritent le chevreuil de Sibérie, plus charpenté que celui que nous connaissons en France. Il faut être vif car lui nous repère vite…
Nos pupilles s’agrandissent au travers des hublots en découvrant les immenses champs de la Sibérie occidentale sous les ailes de l’avion dont la trappe du train d’atterrissage vient de claquer sous le plancher de la carlingue. Michel Strogoff surgit de nos adolescences. « La voici enfin la steppe, la steppe immense et sans limites! »
La steppe immense et sans limites
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