Vincent Piednoir
Immenses, inquiétantes, les forêts de Hongrie restent un paradis cynégétique. À commencer pour leurs bêtes noires.
Lorsque nous atterrissons à l’aéroport de Budapest, le temps est encore à la grisaille et à la fraîche humidité, mais la pluie qui détrempe la région depuis plus de deux semaines a brusquement cessé. Nous sommes le jeudi 11 décembre ; en ce début d’après-midi, la température n’excède pas les 3 °C. Après avoir satisfait aux formalités de rigueur puis récupéré armes et bagages, notre petit groupe – douze personnes, dont dix tireurs – est invité à prendre place à bord de l’un des deux véhicules affrétés pour nous par notre ami Philippe Girardet.
Bêtes noires et ragots hongrois
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